Livre
L'auteur
On en parle...

Dans la presse
           - française
           - étrangère

 

Actualites
Glossaire
Liens
Contacts
Traductions














 
 

On en parle dans… Le Monde

Revenant sur le dernier ouvrage de Pekka Himanen, L'Ethique hacker (Exils, 2001), Pascal Jolivet, économiste spécialisé dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication, explique comment le jeune philisophe finlandais oppose dans son essai une "éthique hacher" à "l'éthique protestante" du travail, qui est à la base du capitalisme contemporain. (Le Monde, 3 mai 2002)

 

On en parle dans… Multitudes

Dans son numéro 8 (mars-avril 2002), la revue a construit autour de l'ouvrage de Pekka Himanen toute une réflexion sur les pratiques des "activistes" du Réseau, voyant dans celles-ci l'émergence d'un nouveau type de capitalisme "cognitif" dégagé de ses origines "protestantes". (Multitudes, mars-avril 2002)

 

On en parle dans… Fluxus

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

 

On en parle dans… Sciences & Vie

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

 

On en parle dans… Crash

Vous êtes tous des hackers ! Des aventuriers modernes ! "L'Ethique hacker" de Pekka Himanen fait le point avec beaucoup de clarté sur l'apport et l'influence d'une tribu née au début des années 60 : les hackers. Mais attention, dans l'esprit de l'auteur, les hackers n'ont rien à voir avec les délinquants juvéniles et autres créateurs de virus. (Crash, n°19, 2002)

 

On en parle sur… Tocsin.net

Après avoir lu ce livre, on se plait à rêver que les hackers "croissent et se multiplient". On se plait à aimer cette vision réaliste mâtinée d'angélisme. Un peu d'optimisme dans ce monde high tech. Un peu de philosophie entre megabit et megaoctet, cela rassure. (Tocsin, janvier 2002)

 

On en parle sur… Urbuz.com

Voyous piqueurs de numéros de cartes de crédit et d¹intrusion sauvage sont appelés «crackers». Les vrais hackers se battent pour la liberté de la toile et son usage démocratique. C¹est un duo finlandais qui nous aide à modifier notre perception : Linus Torvald, inventeur de Linux, a signé la préface du livre et Pekka Himanen, philosophe de 27 ans, enseignant à Berkeley, a observé les moteurs des membres de la caste. Passion, jeu, plaisir et partage, les ingrédients de son livre lui ont valu une traduction en dix langues. Pas mal, pour un essayiste voltairien. (Urbuz, décembre 2001)

 

On en parle dans… La Presse (Canada)

L'ère de l'information, d'accord. Mais l'éthique hacker? Non-sens? Détrompez-vous. C'est précisément la thèse que soutient Pekka Himanen, jeune philosophe finlandais, dans un essai intitulé L'Éthique hacker et l'esprit de l'ère de l'information, traduit dans une foule de langues dont le français, et disponible au Québec depuis décembre. (La Presse, 20 décembre 2001)

 

On en parle dans… Les Inrockuptibles

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

 

On en parle dans… Libération

Il y avait la rock'n'roll attitude, il y a désormais la «hacker attitude». Pekka Himanen, jeune philosophe finlandais (27 ans) et chercheur à l'université de Berkeley en Californie, estime que les hackers sont les prototypes parfaits des citoyens de l'ère de l'information, censée succéder à l'âge industriel. Son livre The Hacker Ethic, publié en mars aux Etats-Unis, a déjà été traduit en dix langues. Entretien avec un «philosophe-hacker».

Pour beaucoup de gens, les hackers ne sont que des pirates informatiques...

Je définis les hackers au sens originel du terme: ces gens fascinés par la programmation et qui veulent partager leur connaissance avec les autres. J'ai étudié les discours des gens qui ont conçu l'Internet, le World Wide Web, Linux: Vinton Cerf, Tim Berners-Lee, Linus Torvalds, la communauté des hackers en général. Les mêmes mots reviennent toujours: la passion, le jeu, le plaisir, l'échange et le partage. Cette attitude des hackers s'oppose radicalement à l'éthique protestante, telle qu'elle est définie par Max Weber, et qui domine le monde d'aujourd'hui: celle du travail comme devoir, comme valeur en soi. Où vous devez juste effectuer votre travail, peu importe en quoi il consiste. Où la souffrance est même assez noble. Cette attitude caractérise l'ère industrielle. Dans l'éthique hacker, vous faites quelque chose que vous trouvez intéressant et gratifiant en soi, grâce auquel vous pouvez vous réaliser et créer quelque chose qui a une valeur sociale.

(…)

Quel est votre hacker préféré?

Socrate. Toute son attitude, cette relation passionnée et modeste au savoir, son ouverture d'esprit, sa quête de directions intellectuelles non prévues: l'attitude des Grecs anciens est très similaire à celle des hackers d'aujourd'hui. Platon, son disciple, a fondé la première académie du monde occidental, et c'est le modèle de la recherche scientifique aujourd'hui. C'est aussi celui des hackers passionnés d'ordinateurs....

(Propos reccueillis par Florent Latrive, Libération, 25 mai 2001)

 

On en parle sur… Newsfam.com

Les hackers, contrairement aux idées reçues, ne sont pas des pirates informatiques, mais un groupe de passionnés de la programmation. Né au début des années 60, ce n'est qu'au milieu des années 80 que le terme a été repris par les médias pour nommer les auteurs de virus ou responsables de destructions de systèmes. Dans l'ouvrage "L'Ethique hacker et l'esprit de l'ère de l'information", Pekka Himanen dévoile l'univers de ces êtres parfois loufoques et met en lumière la profonde mutation sociale qu'ils ont initiée. L'auteur insiste sur les valeurs qu'ils transmettent : une nouvelle éthique du travail, qui s'oppose à l'idée de devoir, la notion de partage de l'information ou éthique de réseau et enfin, l'éthique de l'argent (selon laquelle une activité doit être motivée non pas par l'aspect financier mais par la volonté de créer quelque chose pouvant être partagé par la communauté). Même si tous les hackers ne se reconnaissent pas dans cette définition, cette vision du monde nous invite à réfléchir sur l'avenir de notre société fondée sur le profit et le culte de l'individu. " (Newsfam)